V
Vagabondage spécial : "Tentatives"
Vainement ton image arrive à ma rencontre : "Le contre-chant"
Vains
regrets d'un temps disparu : Hourra l'Oural
Valeur à lot orage : "Samedis"
La valse
des vingt ans : le Crève-cœur
Valse du
Tcheliabtraktrostroï : Hourra l'Oural
Le vaste
monde : Le Roman inachevé
La veille
où Grenade fut prise : Le Fou d'Elsa
Les
veilleurs : Le Fou d'Elsa
Le vent et la terre s'épousent : "Vingtième siècle"
Le vent qui rêve sur la mer : "La faim de l'homme"
Les
vêpres interrompues : Les Yeux et la mémoire
Vers
à danser : Le Fou d'Elsa
Vers d'almanach : Le Nouveau Crève-cœur
Vestiges du culte solaire : Brocéliande, III
La vicomtesse frit une pose ensorcelante et dit : "Encore des paroles en l'air"
Vie de
Jean‑Baptiste A* : Feu de joie
La vie est faite à la façon des hommes : "La chanson de Jean de Chauny"
Le vieil
homme : Le Roman inachevé
Vie
imaginaire du wazîr Aboû'1‑Kâssim 'Abd al‑Malik[1]
: Le Fou d'Elsa
Viens dans mes bras mon signe tendre : "Le Miagki-Znak"
Viens. : "Aline"
La vie privée[2]
Vieux
continent de rumeurs Promontoire hanté :
Le Roman inachevé
Villanelle
: Les Destinées de la
poésie
La ville assise dans les pavés : "Ecritures automatiques"
Vincennes Vincennes d'où vient la Seine pour : "Fugue du bateau-mouche"
Vingt
ans après : Le Crève-cœur
Le
vingt-huit août mil neuf cent trente-et-un[3]
: "Un jour sans pain"
Vingtième
siècle : Hourra l'Oural
Vise
un peu cette folle et ses souliers montants :
"Le cri du butor", III
Vögel Versammeln Sich (1937)[4] : "Cinq tableaux d'une exposition", III
Voici
la grande nuit qui parle à mon oreille :
"La quatre-vingtième neige"
Voici le nuage a crié l'enfant qui tenait un cygne de celluloïd sur son cœur : "De la fausse pluie qui tomba […]"
Voici
le protecteur des Valeurs Éternelles :
"Le protecteur"
Voici
les moutons ton taine : "Romance
sentimentale"
Voilà,
dirent‑ils, Ibn Amir An‑Nadjdî : "Le procès"
Voilà
donc où tu perds malheureux la lumière qui s'achève : Le Roman inachevé
Voilà
trente ans que je suis cette ombre à tes pieds : Elsa
Les
voitures de louage circulent :
"Assurance sur la vie"
La
voix des gens quand il fait noir :
"Deux ans après", VI
Le
voleur : Le Fou d'Elsa
Volupté
Déjeuner de soleil :
"Statue"
Voulez-vous
parlons d'autre chose : "Poésie
pour tout oublier"
Vous demandez
quelle est ma faute camarades :
"L'affreux"
Vous
direz ce que vous voudrez : Le
Roman inachevé
Vous
direz que les mots éperdument me grisent : "Sacre de l'avenir"
Vous
du Métro : "La Tour parle"
Vous
m'avez pris le cœur dans la poitrine :
" Lamentations
d'Al-Andalous pour un jeune roi"
Vous me direz vous me direz Qu'est-ce que ça : "Le montreur"
Vous
n'avez réclamé la gloire ni les larmes : "Strophes pour se souvenir"
Vous
pourrez revenir ce sera vainement :
"D'une petite fille massacrée"
Vous
pouvez vaincre en trois jours : "die
schammade"
Vous
que le printemps opéra : "Pour
demain"
Vous
qui riez : "Angelus"
Voyage :
La Grande Gaîté
Voyages
: La Grande Gaîté
Voyageur : La Grande Gaîté
Le Voyage de Hollande[5]
Le
voyage d'Italie : Les Poètes
Les voyageurs d'Europe entre eux parlaient d'affaires : "L'escale"
Le vrai zadjal d'en mourir[6] : Le Fou d'Elsa
[1] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.
[2] Poème de 1921 non repris dans Feu de joie et édité seulement dans l'OP.
[3] Incipit corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.
[4] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.
[5] Poème publié en 1965 avec d'"autres poèmes" : "D'un enfer", "Du peu de mots d'aimer" et "La messe d'Elsa". Disponible chez Seghers.
[6] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.