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Un accent de l'éternité : Les destinées de la poésie

Un air comme une traîne immense : "Un air d'octobre"

Un air d'octobre : "Amour d'Elsa"

Un air embaumé : Le Mouvement perpétuel

Un amour qui commence est le pays d'au-delà le miroir : Le Roman inachevé

Un beau jour : "Cinq poèmes"

Un bras autour de toi : Les Chambres

Un chemin de crête au Tyrol : "Enfer IX"

L'un dit Ce n'est pas mal L'autre Un peu Baudelaire : "Sortie"

Une barque s'en va sur l'eau : "Intermède"

Une chambre d'ombre avec la haute fenêtre étroite : "Celle dont le nom s'écrit diversement"

Une chambre un rayon de ruche un souffle et le temps qui ne passe pas : "Rue de Rennes"

Une douceur pour mon chien : "Front rouge", I

Une entre toutes les femmes : La Diane française

Une fille quelque part au bord du Xénil : Le Fou d'Elsa

Une fois c'était la guerre : "Les rendez-vous", VII

Une fois pour toutes : Le Mouvement perpétuel

Une joie éclate en trois : "Fugue"

Une leçon de danse : "Ecritures automatiques"

Une maison comme un jeu de cartes battues : Elégie à Pablo Neruda

Une motte sur un mur : "Calendrier 1929"

Une notion exacte de la volupté : "Ecritures automatiques"

Une nouvelle fois ce parfum d'incendie : "Chanson de récréance"

Une nuit d'automne il me semble : "La chemise"

Une nuit de Saint‑Séverin : "Chant pour Slava", II

Une ombre au milieu du soleil dort : "Vie de Jean-Baptiste A*"

Une ouverture et cinq légendes (Chagall XIX, XX, XXI, XXII, XXIII, XXIV) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Une respiration profonde : Le Roman inachevé

Une solitude infinie : Les Destinées de la poésie

Un espion de Castille franchissant le Djébel […] : Le Fou d'Elsa

Un feu nouveau brûle au fond des cokeries : "1905"

Un grand champ de lin bleu parmi les raisins noirs : "Enigme"

Un homme passe sous la fenêtre et chante : Elsa

Un homme tombe dans le puits : "Al-Kassaba d'automne"

Un immense printemps des eaux une débâcle : "Comment l'eau devint claire"

Un jour Elsa ces vers : Elsa

Un jour noir dans une maison de mensonge : "Poème du temps qui ne passe pas"

Un jour sans pain : Persécuté persécuteur

Un jour vient que le temps ne passe plus : "Poèmes des années soixante"

Un Maréchal manque à la fête : Le Musée Grévin, VI

Un moment vient clopin-clopant où celui qui s'agrippe à ta robe : Elsa

Un Monsieur : Dadaglobe

Un nom comme le sang banal d'une coupure : "X… français"

Un oiseau là-haut : "D"

Un peu d'herbe un peu de poussière : "Paroles perdues", XIII

Un philosophe : Le Fou d'Elsa

Un pied : "Chanson pour se laver"

Un poème dit le second c'est un charnier : "Le second"

Un poème écrit à la troisième personne "On vient de loin"

Un poète est celui qui fait des poèmes : "Ce que dit le troisième"

Un régiment passe[1]

Un revirement de la politique est possible en France : Le Nouveau Crève-cœur

Un soir de Londres : Le Roman inachevé

Un soir des plages à la mode on jour un air : "Casino des lumières crues"

Un soir il y eut sur les tours un cri : Le Fou d'Elsa

Un soir ou l'autre ou comme on dit un beau matin : "Le treizième apôtre"

Un soir que je rêvais sur les bords du Scamandre : "Pergame en France"

Un tout petit Chagall où l'on voit l'univers : "Chagall n° tant et plus" (Chagall XIV)[2]"

Un temps de chien : Le Nouveau Crève-cœur

 



[1] Poème publié dans Commune, n° 11-12 de juillet-août 1934.

[2] Titre absent de l'index d'Edouard Ruiz : l'OP donne à ce poème le titre "Suite au final".