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Tais-toi chanson l'heure n'est pas aux relents de l'enfance: Les Poètes

Tandis que je parlais le langage des vers : Elsa

Tandis que la demi-sœur de la lumière : "Dans la forêt"

Tango folie : La Grande Gaîté

Tant pis pour moi : Persécuté persécuteur

Tant que j'aurai le pouvoir de frémir : Elsa

Tant que l'amour me tient de toi : Le Voyage de Hollande

Tant qu'un enfant rêvera de l'aurore : "Prose de Sainte Catherine"

Tapisserie de la grande peur : le Crève-cœur

Tapisseries : Le Nouveau Crève-cœur

Ta secrète beauté m'a fait ce que je suis : Le Fou d'Elsa

Tel que : La Grande Gaîté

Le téméraire : Le Roman inachevé

Le temps à rebours revenu : "Paroles perdues", IV

Le temps a retrouvé son charroi monotone : "Vingt ans après"

Le temps des cerises : En français dans le texte

Le temps des mots croisés : Le Crève-cœur

Les temps du couple ne sont pas venus : Le Fou d'Elsa

Le temps n'a qu'une aile "B"

Le temps n'est que longue paresse : "Deux ans après"

Le temps torride étreint l'arbre étrangement triste : "De l'arbre où ce n'est pas Merlin […]"

T'en souvient-il Alors la douceur des soirées : "Le bouvreuil du Chili"

"Tentatives"[1]

Tercets : La Grande Gaîté

Terre air eau feu Tapis de mes souffrances : "Six tapisseries inachevées"

Tes yeux sont si profonds qu'en m'y penchant pour boire : "Les yeux d'Elsa"

Le tiers chant : Le Fou d'Elsa

Toi dont nos peupliers rêvent dans leur exil : "Italia mea"

La toile perdue (Chagall XVI) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Toi qui es la rose ô mystérieuse rose en ce temps de l'année : Elsa

Ton âme peut changer comme le fond des mers "Daphnis et Chloé", 1

Ton crime enfant des Dieux porte le nom de l'homme : "Prométhée", 2

Toujours à battre les buissons : Le Roman inachevé

Toujours quand aux matins obscènes : "Les feux de Paris"

Les touristes du vent s'intéressent à la lanterne : "Je donne congé aux patrons"

Le tourment le marteau le martyre : "Déjà des férocités"

La Tour parle[2]

Tous ceux qui parlent des merveilles : "Chagall VI"

Tous deux crachons tous deux : "Poème à crier dans les ruines"

Tous les animaux et les candélabres : "Chagall III"

Tous les lilas de vos jardins fleuris : "Le Mai noir"

Tous les paysages où passe un ,fantôme : "Letzter Schnee"

Tout a commencé par une faute de français : Le Fou d'Elsa

Tout à coup me relisant : "Je lui montre la trame du chant"

Tout ce que Grenade peut avoir de poètes : "La bourse aux rimes"

Tout ce que je ne puis à haute voix te dire : "Les rendez-vous", IV

Tout ce qu'il faut de moins que rien : "La Statue"

Toute chose d'obscurité me parle de ton éclat : Elsa

Toute figure murale et la crête solaire : "D'Elsa qui est une mosquée à ma folie"

Toute science est de nommer : "Paroles perdues", VII

Toutes les chambres de la vie au bout du compte VII 484

Toutes les chambres de ma vie : Les Chambres

Toutes les paroles du monde quand à la fois je te les aurai données : Elsa

Toutes les routes de la France : "Les caravanes de la paix"

Tout est faux y compris l'amour : "Ramo dei morti", 2

Toutes toutes toutes : "Tango folie"

Tout le grand ciel de neige se déchire : "Le prix du printemps"                                    

Tragédie : La Grande Gaîté

La tragédie des poètes : Les Poètes

Transfiguration de Paris : La Grande Gaîté

Les traversées : Le Fou d'Elsa

Traverser sa jeunesse : "Chemin de fer"

30 ans ou la vie d'un joueur : La Grande Gaîté

30 avril 1918 : Hourra l'Oural

Le treizième apôtre : Les Adieux

Trente-neuf la terre tremble : "La halte de Collioure"

Très mauvais : La Grande Gaîté

Très tard non point dans le jour ou l'année : Les Chambres

Très tard que jamais : La Grande Gaîté

Triomphe de la moustache La Grande Gaîté

Les trois Pâques de l'année : "Le cri du butor"

Le trousseau de clefs tout aux belles chimères : "Tercets"

Trouver des mots à l'échelle du vent : "Je ne connais pas cet homme"

Tu avais beau faire et beau dire : "Le bouquet"

Tu cours sur les pointes : "Cours de danse"

Tu disais imprudent au jeu : Elégie à Pablo Neruda

Tu m'as donné l'eau bleue et la boue jaune : "La boîte aux papillons"

Tu m'as quitté par toutes les portes : "Les rendez-vous", I

Tu m'as regardé de tes yeux jusqu'à l'horizon désert[3] : Elsa

Tu m'as trouvé comme un caillou que l'on ramasse sur la plage : Le Roman inachevé

Tu me dis que ces vers sont obscurs et peut-être : "Ce que dit Elsa"

Tu n'oses pas crier à pleine voix ton cœur : "Le cri du butor"

Tu portais dans ta voix comme un chant de Nerval : "Complainte de Robert le Diable"

Tu rêves les yeux large ouverts : Elsa



[1] Titre donné par l'OP pour regrouper des "écritures automatiques" inédites, écrites entre 1920 et 1921.

[2] Poème écrit en 1922, non inséré dans Le Mouvement perpétuel.

[3] Incipit corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.