S
Le sable de la mer
fatigué par les pieuvres :
"Demi-Dieu"
Sacre de l'avenir : Les
Yeux d'Elsa
Sacrifions les
bœufs sur les arbres : "La
philosophie sans le savoir"
Safar : Le Fou d'Elsa
Saignez seins
dégrafés à minuit :
"L'enfer fait salle comble"
Sais‑je : "Poèmes
des années soixante"
Sais‑je pourquoi je l'ai suivi : "Poèmes des années soixante"
Sale con : La Grande
Gaîté
Salut à toi jour
de mercurochrome : "Entracte"
Samedis : Le Mouvement
perpétuel
Le sang s'écoule
également toute l'année : Le
Fou d'Elsa
Sans doute ici tout
relève de l'arbitraire : "Les
falâssifa"
Sans famille : La Grande
Gaîté
Sans mot dire : Feu de
joie
Santa Espina : "Deux
poèmes d'outre-tombe", II
Sa première
pensée appelle son amour :
"Prose du bonheur et d'Elsa"
Satan, ses pompes et ses
œuvres[1]
Scène de la vie
cruelle : Les Destinées de la poésie
La scène représente le songe du jeune homme endormi : "Prométhée", 1
La scène représente un jeune homme vers 1890 : "Prométhée", 2
Scharriar Scharriar que
la hache s'arrête : "Les
belles"
Le second : Les
Poètes
Second intermède : Les
Poètes
Secousse : Feu de joie
Le secret : Le Fou
d'Elsa
La Seine et Oise j'y
reviens : "Fernand Léger"
Semeur : "Poésie"
Sept ans depuis ces
mots-là sept ans ont passé : Les
Chambres
Serrure de
sûreté : Le Mouvement perpétuel
Servantes aux bras blancs à l'appel des tambours : "Une entre toutes les femmes"
Si d'aucune façon : "Wassenaar"
Le siècle d'or : Le
Fou d'Elsa
Siège de Grenade : Le
Fou d'Elsa
Si je cessais de vous raconter cette ancienne histoire éteinte : "Parenthèse 56"
Si je chante le plaisir : "Pour demander pardon"
Si je disais à
voix haute : "Zadjal de
l'absence"
Si le miroir mimer osa : "Le miroir"
Le silence des bras
d'ombre s'éclaire de cigarettes :
"Président des jeux"
S'il se pouvait un chœur
de violes voilées : "Plainte
pour le Grand Descort de France"
Si les verres
étaient vraiment des verres :
"Chanson à boire"
Si l'univers ressemble
à la caserne : "Richard
Cœur-de-Lion"
Simple note : "Cantate
à André Masson", VII
Les simulacres : "Tentatives"
Six heures
d'été : Le Voyage de Hollande
Six lignes de travers
une pluie sur les fleurs :
"España en el corazõn"
Six tapisseries
inachevées : La Diane française
Soifs de l'Ouest[2]
: Feu de joie
Soir de tilleul Eté : "Sans mot dire"
Le soleil change
obliquement : "Les
chevaux-jupons"
Le soleil d'Austerlitz : Le
Mouvement perpétuel
Sommeil de plomb : Le
Mouvement perpétuel
Le songe d'une nuit
d'été[3]
Sonnet de la
fidélité[4]
Sonnette de l'entracte : Le
Mouvement perpétuel
Sonnet du sommeil de Madame
Laure de Noves : "Cinq sonnets de Pétrarque"
Sortie : Les
Poètes
Sous la mitre du
ciel château sans âge :
"Le soleil d'Austerlitz"
Sous le fouet de la
famine : "Complainte de Pablo
Neruda", V
Sous un ciel de cretonne : "J'attends sa lettre au crépuscule"
Souvenir de notre jeunesse :
Les Destinées de la poésie
Souviens-toi La senteur
des magnolias blancs : "Absent de
Paris"
Spectacle à la
lanterne magique : Les Poètes
Les spectres
évitaient la route où j'ai passé : "La Nuit de Mai"
Statue : Feu de joie
La Statue[5]
: "Poèmes des années soixante"
Strophe par hasard
retrouvée[6]
Strophes des lieux où
s'asseoir : Le Fou d'Elsa
Strophes pour se souvenir[7]
: Le Roman inachevé
Les successeurs : Le Fou
d'Elsa
Suicide : Le Mouvement
perpétuel
Suite au final[8]
Supersonique :
"Poèmes des années soixante"
Les superstitions des
campagnes se glissent : "Les
étoiles à mille branches"
Sur de blancs canots[9]
Sur des perches de bois
haussant l'abri de chaume : Le
Voyage de Hollande
Sur la berge : "Un accent de l'éternité"
Sur l'amour on avait
écrit : "Le phénix
renaît de ses cendres"
Sur le chemin du retour,
l'Emir : Le Fou d'Elsa
Sur le marché des
cieux qui jette à la criée :
"Nocturne des frères divisés"
Sur le Pont Neuf j'ai
rencontré : Le Roman
inachevé
Les survivants[10]
Symbole : La Grande Gaîté
[1] Poème non repris dans Feu de joie.
[2] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.
[3] Poème publié dans la revue Soutes, n° 2 de février 1936.
[4] Poème publié dans L'Humanité du 10 mars 1954.
[5] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.
[6] Strophe écartée par Aragon du Mouvement perpétuel.
[7] Publié sous le titre "Groupe Manouchian" dans L’Humanité du 5 mars 1955, puis dans Le Roman inachevé sous le titre "Strophes pour se souvenir", ce poème fut mis en musique par Léo Ferré sous le titre "L’affiche rouge".
[8] Titre donné par l'OP au poème "Chagall n° tant et plus" paru dans l'ouvrage de Georges Sadoul consacré à Aragon (Seghers, "Poètes d'aujourd'hui") et qui porte dans Les Adieux le titre "Chagall XIV").
[9] Poème inédit, non retenu par Aragon dans Le Voyage de Hollande, est placé dans l'OP à la suite des deux "Chants perdus" du Voyage de Hollande.
[10] Poème publié dans Les Lettres françaises, n° 43 du 17 février 1945.