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Quai de Béthune : Les Poètes

Qu'ai-je en moi qui me mord ce monstre : "Un jour Elsa ces vers"

Quand, au-dessus de Maligrane : "Journal d'on ne sait qui"

Quand ce fut une chose acquise : Le Roman inachevé

Quand il arriva la saison : "Marche française"

Quand il vint la chercher : "Ballade"

Quand je me retourne en arrière il me semble que ces jours sont : Le Roman inachevé

Quand je me retourne je vois derrière moi : Les Poètes

Quand je vois des femmes comme ça : "Tel que"

Quand je vous disais la rose : "La patrie en danger", I

Quand la nuit est longue on la tue[1] : "Chansons de Madeleine", 1

Quand la Reine Isabelle était arrivée aux Fontaines de Guëtar : Le Fou d'Elsa

Quand le maître de la ferme qui l'invite à se joindre au repas : "Le repas"

Quand les hommes descendaient des faubourgs : "Front rouge", II

Quand le soleil comme un chien jaune a mis sa longue langue rêche : "L'aube", "Les Falâssifa"

Quand le temps atteint sa faussure : "Paroles perdues", I

Quand nous étions le verre qu'on renverse : "Les roses de Noël"

Quand on a peiné tout le jour : "Le fantôme de l'honnête"

Quand on se réveillait la nuit : Le Roman inachevé

Quand outre‑mer cette guerre eut pris fin : "La dame arrive"

Quand sur l'horloge de la faim : "Pierre-dans-les-liens"

Quand tu dors dans mes bras je peux longuement caresser ton âme : Elsa

Quand tu mourras j'aurai des mains de chevreau glacé : "Ecrit au verso de “Bribes”"

Quand tu rompis ta lance à la forte d'Elvire : "Chant de la Bâb al-Beïra"

Quarante mille fantassins et dix mille chevaux : "Siège de Grenade"

Quartiers et banlieues : "L'été pourri", II

Quatorzième arrondissement : Les Poètes

Quatrains des éclairs : "Cinq sonnets de Pétrarque"

Quatre murs : "Poèmes des années soixante"

La Quatre-vingtième neige (Chagall XVII) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

97‑28 : La Grande Gaîté

Que celui-là qui me hait vienne et me tue : Les Chambres

Que ce soit Allah que mon maître serve ou Jésus : "L'homme du Mardj improvise un poème en réponse à l'étranger"

Que ce soit dimanche ou lundi : "Vers à danser"

Que cette interminable nuit paraît à mon cœur longue et brève : Le Roman inachevé

Que cherchez-vous de moi perpétuels orages : "Imité de Camoëns"

Que deviens‑tu sans moi que deviens‑tu Grenade : "Les successeurs"

Quel affreux désordre de sentiments : "L'illusion de la désillusion"

Que la vie en vaut la peine : Les Yeux et la mémoire

Quel désordre il y a dans tout ce que l'on voit : "Daphnis et Chloé", 3

Que l'eau du ciel mette en déroute : "Prière pour faire pleuvoir qui se dit […]"

Que les étoiles aient brisé d'épouvante leurs doigts : "Argument du poème"

Quel est celui dirent-ils qu'on appelle Medjnoûn : "Mouharram"

Que les genêts sont heureux : "Les genêts"

Quel est ce cantique étrange : "Petit dialogue ahuri"

Quelle est cette côte perdue où bleuit le chardon dans le brouillard des sables : Elsa

Quel être suis-je et d'où l'image : Le Fou d'Elsa

Quel langage vais-je choisir pour parler de toi camarade : "A Frédéric Joliot-Curie"

Quel parfum tout à coup levé quel vent dans le sable : Le Fou d'Elsa

Quelque part cette ville ainsi qu'une laitue : "Henri Matisse dans sa centième année"

Que me veux-tu disait le feu Je n'en peux plus disait la pluie : "Enfer X"

Que sais-tu des plus simples choses : "Chanson pour Fougère"

Que sais-tu du dehors toi qui n'as même pas de l'heure ou du jour certitude : "Ramadân"

Qu'est-ce que parler veut dire ? : "Une fois pour toutes"

Qu'est-ce qu'il m'arrive Je viens tout à coup de m'entendre : Elsa

Qu'est devenu le caissier infidèle[2]

Question : "Les enfants"

Qui donc est plus à craindre ô Roi des princes ou du peuple : Le Fou d'Elsa

Qui jamais eut songé sans cet amour de toi : "L'aube", "Chants du Medjnoûn"

La quille de bois dans l'eau blanche et bleue : "Les poissons noirs"

Qu'il m'est doux de dormir le songe de la pierre : "Plainte pour la mort de Madame Vittoria Cotonna, marquise de Pescaire"

Qu'importe à l'exilé que les couleurs soient fausses : "La nuit d'exil"

Qu'importe le détail de ces jours où les Rois viennent prendre : Le Fou d'Elsa

Qui n'aime à douleur peut-on dire il aime : "Les rendez-vous", V

Qui parle ainsi? Je ne sais plus : "Journal de Zaïd"

Qui .sait peut-être suffit-il aux conquérants d'avoir pris toutes ces villes : "Le miroir bien-aimé"

Quitte ou double : "Qu'est devenu le caissier infidèle"

Quoi Comment Où tout ceci : Le Roman inachevé

Qu'ont dit mourant les cheminots de Rennes : "Romance des quarante mille"

Qu'y pouvons-nous C'est notre vie ainsi qu'une table servie : Elégie à Pablo Neruda

Qu'y puis-je Il y avait ces hommes dans ta vie : Elsa

 



[1] Ce poème ne figure pas dans Les Adieux.

[2] Poème de 1920 non repris dans Feu de joie et édité seulement dans l'OP.