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Pablo mon ami tu disais avec ce langage angoissant : Elégie à Pablo Neruda              

Les pages lacérées : Le Roman inachevé

Le papier quadrillé : Les Chambres         

Le paquet de tabac du peintre c'est la bûche : "Fiche"

Parabole du montreur de ballet : Le Fou d'Elsa

Parabole imitée de Saadi : Elsa

Le paradis terrestre : La Grande Gaîté

Pardonnez Pardonnez-moi ce langage : "Fernand Léger"

Pareil à un Rothschild qui par : "Ne triomphez pas trop vite"

Pareils à ceux qui s'aiment : Les Yeux et la mémoire

Parenthèse de la fausse Elsa : Le Fou d'Elsa

Parenthèse 56 : Le Roman inachevé

Le paresseux : Elégie à Pablo Neruda

Paris : La Diane française

Paris ne se peut pas museler aisément : "Le complot"

Paris vingt ans après : Le Roman inachevé

Par la soumission de ces Moslimîn : "Journal de Zaïd"  

Par les routes d'Espagne où vous avez passé : Le Fou d'Elsa

Paroles perdues : Les Adieux

Par quel miracle surhumain s'est-il réveillé : "L'incantation détournée"

Partie fine : La Grande Gaîté

Parti pris : Feu de joie

Partout de grands mouchoirs sèchent aux doigts des branches : "Lyon les mystères"

Passionnément tous les deux : "Souvenirs de notre jeunesse"

Pastorale : Les Destinées de la poésie

La patrie en danger[1]

Paul Klee (1879‑1940) : Les Adieux

Pauvres embrasses des rideaux : "Le chien qui parle"

Les pauvres mots que paume et main : Le Voyage de Hollande

Le paysage alpestre est à l'idylle : "Zlatooust"

Le paysage enfant de la terreur moderne : "Tapisserie de la grande peur"

Le paysan de Paris chante : En français dans le texte

Le paysan soudain[2] : Le Fou d'Elsa

Le peintre à quoi rêvait-il : "L'Apocalypse selon Marc", 2

Le peintre dort sur le tapis : "Ouverture", "Une ouverture et cinq légendes"

La Pensée : Dadaglobe

.Pergame en France : "Deux poèmes d'outre-tombe", I

Permettez madame : "Le dernier des madrigaux"

Persécuté persécuteur[3]

Persienne Persienne Persienne : "Persiennes"

Persiennes : Le Mouvement perpétuel

Personne n'a rien dit quand l'orange est tombée : " Enfer VII-L'Orange"

Personne pâle : Feu de joie

La pesanteur : Persécuté persécuteur

Le petit cheval n'y comprend rien : "1932"

Petit dialogue ahuri : Hourra l'Oural

Petite énigme du mois d'août : Le Nouveau Crève-cœur

Les petites marionnettes : Persécuté persécuteur

Petite suite sans fil : Le Crève-cœur

Petits palais de la banlieue : Le Voyage de Hollande

Les petits pierrots au clair de la lune : "Jaguère et nadis"

Le peuple : les Yeux et la mémoire

Le peuple Il est des mots comme ça qu'on prononce : "Le peuple"

Le phare : Écritures automatiques

Le phénix renaît de ses cendres : Les Destinées de la poésie

Les philosophes les artistes : "Les derniers jours"

La philosophie sans le savoir : Le Mouvement perpétuel

Phrases : "Contribution à la presse Dada"

Pièce à grand spectacle : Feu de joie

Pierre‑dans‑les‑liens[4]

Pierre fendre : Feu de joie

Pierres : "Tapisseries" .

Pierres de jour pierres de nuit : "Pierres"

Pierrette : Les Destinées de la poésie

La pine et le con dans un lit : "Calendrier 1929"

Le pirate entre avec des airs à lui : "Une notion exacte de la volupté"

La place ici de toute chose : Elsa

Plainte de Zaïd : Le Fou d'Elsa

Plainte pour la mort de Madame Vittoria Cotonna, marquise de Pescaire : Les Yeux d'Elsa

Plainte pour le quatrième centenaire d'un amour : Les Yeux d'Elsa

Plainte pour le grand descort de France : Les Yeux d'Elsa

Plainte royale : Le Fou d'Elsa

Les Plaintes[5] : Les Yeux d'Elsa

Le plaisir‑Dieu : Le Fou d'Elsa

Le plongeur : Le Fou d'Elsa

Plongeur à qui tout est la mer : "Le plongeur"

Plus belle que les larmes : Les Yeux d'Elsa

Plus noir que le cœur de la renoncule : "Les petites marionnettes"

Plus rien ne m'est cher pas même : "Gobi 28"

Poème à crier dans les ruines : La Grande Gaîté

Poème de cape et d'épée : Les Destinées de la poésie

Poème de non-amour : Les Adieux

Poème de sang et d'amour : Les Destinées de la poésie

Poème des deux mois de Kânoûn : Le Fou d'Elsa

Poème du temps qui ne passe pas : Les Chambres

Poème du violon Lazare : Les Poètes

Poème écrit dans les toilettes : "De amore Elsæ"

Le poème interrompu : Le Crève-cœur

Poème raconté (Chagall XII) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Poèmes des années soixante[6]

Poésie : Le Mouvement perpétuel

Poésie ô danger des mots à la dérive : "Absent de Paris", VI

Poésies pour tout oublier : Le Roman inachevé

Le poète chante. : "Ciel de lit"

Les Poètes[7]

Poids : La Grande Gaîté

Point mort : "Corps et biens"

Le point mort : "Tentatives"

Les poissons noirs : "Tapisseries"

Portant la guerre dans ses flancs : "Dialectique de mars"

Porteurs de nard de myrrhe et d'or : "C'est en janvier que tout commence"

Porteurs d'oiseaux et de poignards : "Chant des vauriens"

Portrait : La Grande Gaîté

Pour ceux qui prétendront que ceci n'est pas un poème : "Front rouge", IV

Pour demain : Feu de joie

Pour demander pardon : Le Fou d'Elsa

Pour me faire faire pipi : "Réfractaire"

Pour mes amis morts en Mai : "Art poétique", En français dans le texte

Pour nourrir ceux que nous aimons : "Chant des pêcheurs de perles"

Pourquoi ce cœur comme un orage : "L'hiver", II

Pourquoi continuer ce jeu trop romantique : "Fini de rire"

Pourquoi, dit Boabdil, quand il eut lavé : Le Fou d'Elsa

Pour toi : "Amour d'Elsa"

Pour un chant national : Les Yeux d'Elsa

Prairie adieu mon espérance : "Le conscrit des cent villages"

Préface abusive à dix images de l'amour : "Cantate à André Masson"

La préférence : "Celui qui dit les choses sans rien dire", VII

Prélude à la Diane française : La Diane française

Prélude au temps des cerises : Persécuté persécuteur

Le premier : Les Poètes

Le premier ciel que décrit Avicenne : "La fiction des cieux selon Ibn-Sînâ"

Premièrement je t'aime : "Maladroit"

Le premier pas mène à la mer j'y plonge : "Réclame d'aucun produit"

La première voix : Le Fou d'Elsa

Prends garde ne me parle pas d'eux : "Chant de la Puerta del Sol", IV

Près de toi mon miroir et ma chère insomnie : "Le guetteur"

Président des jeux : Écritures automatiques

Prière d'Elsa : Le Fou d'Elsa

Prière pour faire pleuvoir qui se dit une fois l'an : Brocéliande, II

Le printemps : Le Crève-cœur

Le printemps : Le Fou d'Elsa

La prise du pouvoir : "Cinq poèmes"

Prisonnier au cœur du grelot : "Les barres"

Les prisonniers comme des cigales qu'un enfant mit : Les prisonniers de l'Al‑Kassaba

Les prisonniers de l'Al‑Kassaba : Le Fou d'Elsa

Les prisonniers ont-ils le droit de résoudre : "Phrases"

Le prix du printemps : Le Roman inachevé

Le procès : Le Fou d'Elsa

Programme : Feu de joie

Le progrès : Persécuté persécuteur

Le projet caressé : Écritures automatiques

Prologue : Les Poètes

Le Prologue étant de convention Poète[8] : Les Poètes

Prométhée : Les Poètes

Prométhée ô consonnes de printemps promesses : "Prométhée"

Prose de Jeannette qui pleura[9]

Prose de la reine Blanche et des ouvriers de chez nous : Le Nouveau Crève-cœur

Prose de l'ombrelle : "La mort à Paris"

Prose de Nezval : Les Poètes

Prose de Sainte Catherine : Le Nouveau Crève-cœur

La prose des petites gens s'écoule à l'accoutumée : "Ce que pense la 'âmma"

Prose du bonheur et d'Elsa : Le Roman inachevé

Le protecteur : "La patrie en danger", III

Pur jeudi : Feu de joie

 



[1] Poème publié dans Les Lettres françaises, n° 418 du 13 juin 1952, alors que Jacques Duclos, à qui il a été dédicacé, a été mis en prison.

[2] L'incipit apparaît dans la réédition de l'OP sous la forme fautive "La paysan soudain".

[3] Poème publié en 1931, réédité en 1998 chez Stock.

[4] Poème dédié à Pierre Unik, publié dans L'Eternelle revue, n° 3 d'avril 1945.

[5] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[6] Titre donné dans le recueil des Adieux aux "Chansons de Madeleine" qu'il reprend.

[7] Poème publié en 1960. Disponible en Folio/Gallimard.

[8] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[9] Ce poème, publié en 1947 et réédité dans Le Nouveau Crève-cœur n'appartient pas à la réédition du Nouveau Crève-cœur en "Poésie/Gallimard.