O
Ô
blousons noirs jeunes hommes : Le
Fou d'Elsa
Odessa
ville de poussière : Le
Roman inachevé
L'odeur
d'aucun herbier : "Ecritures automatiques"
Odeur
des myrtils : Les Poètes
Ô
diable de la musique : "Chant pour
Slava", III
Offertoire
: "La messe d'Elsa"
Ô flamme obscure Flamme fraîche : "Prose de Nezval"
Ô forcené qui chaque nuit attends l'aube : Le Roman inachevé
Ô
froide et brûlante à la fois pécheresse : "Un espion de Castille franchissant le djebel
[…]"
Ô fronts où
faussement la sagesse des rides : "Un
revirement de la politique est possible en France"
Ô
gens qui faites mine "Enfer XI"
Oh la guitare oh la guitare en sa gorge est mon cœur enclos : Elégie à Pablo Neruda
Oh
ma zizi : "Exagération"
Oime il bel viso oime il soave sguardo : Le Roman inachevé
Ô
impie : Le Fou d'Elsa
Oiseau
de fer qui dit le vent : "Coq"
L'oiseau sur l'affiche BOTTINES[1] : "La vie privée"
Les oiseaux : "Le romancero de Pablo Neruda"
Ô
l'épaisse toison d'étoiles sur nos têtes : "La nuit d'Août"
Olivier
Bachelin : Le Nouveau Crève-cœur
Ô
maison de Dieu tu commences : Le
Fou d'Elsa
Ô
mares sur la terre au soir de mon pays… : La Diane française
L'ombre
dit Mais tu n'es qu'un aveugle :
"L'ombre et le mulet"
L'ombre
et le mulet : Les Yeux et la mémoire
Ombres
: Le Crève-cœur
Les
ombres se mêlaient et battaient la semelle : "La guerre et ce qui s'en suivit"
Ô
Medjnoûn : Le Fou d'Elsa
Ô
mois d'août quarante-quatre : Le
Roman inachevé
Ô
mois des floraisons mois des métamorphoses : "Les lilas et les roses"
Ô
mon jardin d'eau fraîche et d'ombre :
"Le vrai zadjal d'en mourir"
Ô
mon jasmin : Le Fou d'Elsa
Ô
mon torrent : Le Fou d'Elsa
On a
beau changer d'horizon : Le Roman
inachevé
On a
changé ce matin le papier à roses : "Sans famille"
On a
des phrases qui vous hantent machinales :
"Madame Colette"
On a tort si l'on croit savoir ce qu'il advient : "Entrée des succubes"
On cherche vainement à se souvenir des visages nus : "L'institutrice"
On
dormait encore en ce temps-là : La Diane française
On me demande avec insistance : "Art poétique", La Grande Gaîté
On ne peut pas toujours prier : "Air à danser"
On
ne veut pas me croire j'ai beau : Elsa
Ô nom que je ne nomme point et qui s'arrête dans ma bouche : "Medjnoûn"
On
se hâte trop souvent de chanter les rois[2]
: Le Fou d'Elsa
On veut
à tout prix savoir si la vie est triste : "Jour de souffrance"
On
vient de loin : Les Yeux et la mémoire
On
voit des marquis sur des bicyclettes :
"Fêtes galantes"
Ô
paroles à la lèvre inconsidérément
envolées... : "Cette Grenade
appelée vie"
Ô
petite fille pareille à la fleur subite de l'agave : "Parenthèse de la fausse Elsa"
Oraison
: "La messe d'Elsa"
Or,
à la porte des Étendards : Le
Fou d'Elsa
Les
orateurs : Hourra l'Oural
Or
était Grenade une ville : Le
Fou d'Elsa
Or
cet enfant tué dans un matin de ville :
"L'enfant"
L'or
et non pas le roi grise les cœurs avares :
"Vestiges du culte solaire célébré sur les pierres
plates de Brocéliande"
Or
il y avait dans Grenade un homme si triste :
"Le secret"
Or je marchais sur une terre et je la sentais sous mon pied : "Parabole imitée de Saadi"
Or
le peuple de Grenade : Le Fou
d'Elsa
Or
les enfants suivant le diseur de zadjal : Le
Fou d'Elsa
Or
nous repassions sur la Vesle : Le
Roman inachevé
Or
voici chevauchant la jument Lâcheté[3]:
"J'ai compris"
Ô sable divisé dans les mains souveraines : "Autre lamentation"
Ô
soleil de minuit sans sommeil solitude :
"Le temps des mots croisés"
Ô soleil du chant dans la nuit Rien d'abord qu'une : "Chant pour Slava", I
Ô tintamarre tintamarre ô tintamarre qui me tue : Les Poètes
Ô toi mon ami mon maître dont j'envie : "Cantate à André Masson", V
Ô
toi qu'aucun mot ne résume :
"Prière d'Elsa"
Ô tumulte alors de
tous ceux pour qui les choses sont dans le langage Le Fou d'Elsa
Où
est ma cinquième colonne : "Les
neiges de Siegmaringen"
Où
es-tu toi dans moi qui bouges :
"Chanson du miroir déserté"
Où
fait-il bon même au cour de l'orage :
"Paris"
Où
faut-il qu'on aille : "Le vaste
monde"
Oui
c'était ces deux-là l'Amérique outragée : "Réponse"
Où les sommets s'élèvent au-dessus du
sommeil : Les Destinées de la poésie
L'Oural
parle : Hourra l'Oural
Où sommes-nous Quel ver le soleil ronge : "Chanson du Conseil municipal"
Où sont-ils ceux qui font honneur aux lances de Samhar : Le Fou d'Elsa
Où suis-je et sur mon visage : "Enfer II"
Où t'en vas-tu
pensée où t'en vas-tu rebelle :
"Elsa-valse"
Ouverture : "Cantique à Elsa"
Ouverture : "Une ouverture
et cinq légendes"