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Nadiejdinsk : Hourra l'Oural

La naissance du printemps : Les Destinées de la poésie

Les napperons bleus des squares : "Un beau jour"

La nature éternelle : "Falparsi"

Naufrage-enseigne : La Grande Gaîté

N'écoute que ma voix : "De amore Elsæ"

Ne faites pas allusion aux oiseaux des régions antarctiques : "L'épingle stérilisée"

Ne ferme pas les yeux Je suis : Le Fou d'Elsa

Les neiges de Siegmaringen[1]

Ne parlez, pas tous à la fois : "Quatre murs"

Ne peux-tu démontant l'horloge autre l'imaginer Agencer les rouages : "L'horloge"

N'est pas vice : La Grande Gaîté

Ne t'en va pas mon cœur ma vie : "La délaissée"

Ne triomphez pas trop vite : Persécuté persécuteur

Ne voyez-vous pas la guerre : "La guerre"

Ni fleurs ni couronnes : Les Adieux

Ni haut ni bas ni jour ni nuit : "Celui qui dit les choses sans rien dire", V

Ni les couteaux ni la salière : "La route de la révolte"

Ni les femmes ne portent ici, qu'occasionnellement, le voile : "Le foundoûk"

Noces dans la rue : "La mort à Paris", IV

Nocturne : Les Destinées de la poésie

Nocturne des frères divisés : Les Yeux et la mémoire

Non je ne cherche pas au milieu des dangers : "Je plaide pour les rues et les bois aujourd'hui"

Nos soldats à La Rochelle : "Chanson du siège de La Rochelle"

Nous appellerons Hollande : Le Voyage de Hollande

Nous autres diamants : "Journal du diamant (Fragments)"

Nous avons fait l'amour : "Calendrier 1929"

Nous avons fait le bien comme ils ont fait le mal : "La force"

Nous avons pris toutes les dispositions : "Le projet caressé"

Nous avons traversé la vie ainsi que chiffres enlacés : á

Nous avons voyagé de ciel en ciel au-dessus du monde : "Chant de la Puerta del Sol", III

Nous étions deux nous n'étions qu'un du moins du moins :Le Fou d'Elsa

Nous étions faits pour être libres : "Un homme passe sous la fenêtre et chante"

Nous étions venus dirent-ils pour voir l'avenir dans ta bouche : Le Fou d'Elsa

Nous n'irons plus à Compostelle : "Chanson de la caravane d'Oradour"

Nous qui marchons dans l'invisible : "Der Wind Streut Samen (1933)"

Le Nouveau Crève-cœur[2]

La nouvelle ronde[3]

Les noyés : "Amour d'Elsa"

Les noyés sous le Pont‑au‑Change : Les Adieux

Nuage : "Air du temps"

La nuit : Les Poètes

La nuit d'Août[4] : Brocéliande, VI

La Nuit de Dunkerque[5] : Les Yeux d'Elsa

La Nuit de Juillet[6] : La Diane française

La Nuit de Mai[7] : Les Yeux d'Elsa

La nuit de Moscou : Le Roman inachevé

La nuit des jeunes gens : Les Poètes

La Nuit d'Exil[8] : Les Yeux d'Elsa

La Nuit en plein midi[9] : Les Yeux d'Elsa

La nuit la nuit s'il est encore une nuit : "La nuit"

Les Nuits[10] : Les Yeux d'Elsa

Les nuits de Grenade ne sont que chansons : Le Fou d'Elsa

La nuit se fait soudain pleine de criquets : Le Fou d'Elsa

La nuit tombe sur la parole : "Paroles perdues", IX

Nul besoin d'avoir fût-ce une fois : "Sais-je"

Nul ne réveillera cette nuit les dormeurs : "Chanson pour oublier Dachau"

Nymphée : En français dans le texte

 

 



[1] Poème publié dans Les Lettres françaises, n° 43 du 17 février 1945.

[2] Recueil de poèmes publié en 1948 chez Gallimard. Disponible en Poésie/Gallimard à la suite du Crève-cœur.

[3] Poème publié dans Feuille rouge, n° 4 de mai 1933, mis en musique en 1934 dans L'Almanach ouvrier et paysan, puis en 1935 dans Chants révolutionnaires français (Éditions sociales internationales).

[4] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[5] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[6] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[7] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[8] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[9] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[10] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.