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Madame Colette : Mes caravanes

Madame Tussaud : Feu de joie

Madame vous dormez mais dans vos songes mêmes : "Sonnet du sommeil de Madame Laure de Noves […]"

Madrigal pour un plafond : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Magnitogorsk : Hourra l'Oural

Magnitogorsk La nuit est belle : Hourra l'Oural

Le Mai noir : Mes caravanes

Ma main dans la glace : La Grande Gaîté

La main qui dessine : " Ma main dans la glace"

Les mains d'Elsa : Le Fou d'Elsa

Maintenant, dans la cour des Myrtes : "Le bassin"

Maintenant que la jeunesse : "Le cri du butor", IV

Mais aujourd'hui chez moi vers onze heures vingt : "L'Apocalypse selon Marc", 4

Mais ce n'est d'abord qu'épouvante : Le Fou d'Elsa

Mais c'est assez parler du ciel des astronomes : "L'enfer"

Moi dit le fornicateur je suis ici pour attendre : "Le fornicateur"

Mais il advint que le mieux relatif rendit force : "Chaououâl et Doû'l Ka'da"

Mais il n'est pas le mien ce ciel et pas le mien : "Absent de Paris", V

La maison n'était qu'un nœud de ténèbres : "Chari' (Le figuier)"

Les maisons de la Hollande ont : "Intérieurs"

Mais rien ne se peut entendre de ce qui fut la fin de Grenade : Le Fou d'Elsa

Mais tout ceci n'est qu'un côté de cette histoire : Le Roman inachevé

Mais une atroce aventure : "Complainte de Pablo Neruda", IV

Mais voici que l'histoire ici n'est que sa propre fin : "Cantate à André Masson", III

La maîtrise de soi-même est une martre : "Une leçon de danse"

Maladroit : La Grande Gaîté

Malgré la haine et le mépris de ceux qui ont science de la poésie : Le Fou d'Elsa

Le malheur dit : Le Fou d'Elsa

Malheureux comme les pierres : "Personne pâle"

Malkine : "demeure de Georges Malkine"

Malles Chambres d'hôtel Ainsi font : Le Roman inachevé

Mandragore : Persécuté persécuteur

Ma parole : "Serrure de sûreté"

Ma patrie est comme une barque : "Richard II Quarante"

Marche des interventionnistes[1]

Marche française : La Diane française

Marguerite : En français dans le texte

Marguerite Marie et Madeleine : Le Roman inachevé

Mariage d'amour[2]

Mars à Vincennes : Persécuté persécuteur

Le martin-pêcheur II y en avait un : "Poème raconté"

Les martins-pêcheurs au ciel jaune et rosé : Le Roman inachevé

La mascarade au ciel d'orage un instant : "Deux touristes dans l'air d'Oural"

Matisse parle : Le Nouveau Crève-cœur

Le médecin de Villeneuve : En français dans le texte

Medjnoûn : Le Fou d'Elsa

Meindert Hobbema : Le Voyage de Hollande

Mélibée ou les conversos : Le Fou d'Elsa

Même la nuit je te revois dans ton jour : "Le labyrinthe bleu et blanc", II

Même tout seul l'oiseau au fort : "Le poème interrompu"

Mer d'huile : "Corps et biens"

La merveille de la musique est de n'être que mouvement : Le Fou d'Elsa

La merveilleuse fête de rien : Les Adieux

Merveilleux moment qui continue à m'agacer : "Les simulacres"

Mesdames Messieurs Bonnes d'enfants et soldats : "Boniment"

La messe d'Elsa : Le Voyage de Hollande et autres poèmes

Le meurtrier se souvient : Les Chambres

Me voici sur mon trente et un : "97-28"

Le Miagki-Znak : Le Voyage de Hollande et autres poèmes

1490 : Le Fou d'Elsa

1491 : Le Fou d'Elsa

MCMXLVI : Le Nouveau Crève-cœur

Mimosas : Les Destinées de la poésie

Le miroir : Le Fou d'Elsa

Le miroir bien aimé : Le Fou d'Elsa

Le miroir dit An-Nadjdî ce jour-là : "Fable du miroir-temps"

Le miroir qui me regarde et s'afflige : Les Chambres

Moderne : La Grande Gaîté

Mohammed est triste On ne sait : "Zam'ra de Zahrâ'"

Moi dit le fornicateur Je suis ici pour attendre les pierres : Le Fou d'Elsa

Moi pas plus que le chien je ne vois l'avenir : "Ô mon jasmin"

Moi qui n'ai jamais pu me faire à mon visage : "Le vieil homme"

Mon amour à la fin du monde : "Il n'y aura pas de jugement dernier"

Mon amour est la violette à la morsure comparable : "Poème des deux mois de Kânoun"

Mon amour ne dis rien laisse tomber ces deux mots-là dans le silence : Elsa

Mon cœur battait comme une voile dans ta voix : Le Voyage de Hollande et autres poèmes

Monde couleur d'herbe et de blé : "Vögel versammeln sich (1937)"

Le monde illustré : le Nouveau Crève-cœur

Mon Dieu jusqu'au dernier moment : "L'amour qui n'est pas un mot"

Mon Dieu mon Dieu cela ne s'éteint pas : "Le feu"

Mon parti m'a rendu mes yeux et ma mémoire : "Du poète à son parti"

Mon pauvre petit François : "A celui qu'éblouit la neige"

Mon peuple dispersé comme un vol de perdrix : "Le siècle d'or"

Mon sombre amour d'orange amère : "Chanson noire"

Montagnes reprenez ses chants et vous, oiseaux... : Le Fou d'Elsa

Le Montreur : Les Poètes

La mort à Paris : Il ne m'est Paris que d'Elsa

La Mort n'est-elle pas la même pour le bœuf aux Abattoirs : "Noces dans la rue"

Le Mot : En français dans le texte

Le mot "Amour" : Le Roman inachevé

Le mot n'a pas franchi mes lèvres : "Le mot"

Les mots m'ont pris par la main : Le Roman inachevé

Les mots qui ne sont pas d'amour : Le Roman inachevé

Le mot "Vie" :  Le Roman inachevé

Mouharram : Le Fou d'Elsa

Moussa, fort las de sa randonnée en montagne : Le Fou d'Elsa

Le Mouvement perpétuel[3]

Le Musée Grévin[4]

Mythologie : La Grande Gaîté

 



[1] Publié dans L'Almanach Ouvrier Paysan de 1934.

[2] Prologue en vers d'une pièce de théâtre intitulée Boniment, ce texte publié dans Soutes (n° 3 du 1er mai 1936) n'a été reproduit que dans la deuxième édition de l'OP.

[3] Recueil de poèmes de 1925, publié avec Feu de joie en Poésie/Gallimard.

[4] Poème paru dans la clandestinité, signé du pseudonyme François La Colère.