I

 

Ibn‑Amir se souvint ce jour-là de Zaïd : Le Fou d'Elsa

Icare épris du ciel et de la Cimmérie : "Charlot sentimental"

Ici commence la grande nuit des mots : Le Roman inachevé

Ici danse le zéro vide : "Le montreur"

Ici j'ai tant rêvé marchant de l'avenir : Le Roman inachevé

Ici le vent joue avec la ceinture : "Avignon"

Ici Palais des Délices : "Ecritures automatiques"

Ici repose un cœur en tout pareil au temps : "Marguerite"

Ici sais-je si c'est l'auteur ou le Medjnoûn qui parle : Le Fou d'Elsa

Il a ri de ce qui fait rire : "Le cri du butor", I

Il arrivait parfois qu'An‑Nadjdî parlât : "Commentaire de Zaïd entre deux chants", Le Fou d'Elsa

Il aura fallu qu'il s'en passe : Fernand Léger

Il avait tout à coup cédé le long hiver : "Prose de Jeannette qui pleura"

Il disait que la guerre est naturelle à l'homme : Le Musée Grévin, V

Les îles au milieu de la couleur : "D'un pays"

Il est interdit blasphémer[1] : Le Voyage de Hollande

Il est inutile de geindre : "Les mots qui ne sont pas d'amour"

Il est plus facile de parler d'un poète : Fernand Léger

Il est sept heures dix une tasse de menthe : "Elsa entre dans le poème", 2

Il est un air d'hier qui poursuit ma mémoire : "Vers d'almanach"

Il était une fois ainsi la fin débute : "Il ne m'est Paris que d'Elsa"

Il existe un pays solaire : "L'homme"

Il fait noir de ces présences : "Un philosophe", VI

Il faut bien que le printemps se passe : "Cet été s'en va sur les routes…"

Il faut être roi qu'on vous crucifie entre un porc et un chien : "Blasphème pour être mis à mort"

Il faut pourtant que cela chante : "Le malheur dit"

Il faut tout le sang du meurtre à la bête pour : "Rotes rabtier"

L'Iliade : Les Adieux

L'illusion de la désillusion : Les Destinées de la poésie

Il manque une tapisserie : "Tapisseries"

Il n'a donc pas suffi d'ôter ce double amour : "Et morale"

Il n'aurait fallu : Le Roman inachevé

Il neige des cris et des plumes : "Les oiseaux"

"Il ne m'est Paris que d'Elsa" : Il ne m'est Paris que d'Elsa

Il ne m'est Paris que d'Elsa[2]

Il ne nous a pas été donné de choisir le décor d'être : "L'Apocalypse selon Marc", 3

Il ne nous est rien parvenu des chants : "Chants du Medjnoûn"

Il ne pleut pas Le vent s'est tu : "Chants du vingtième siècle"

Il ne reste à ma lèvre enfin que cette injure : "Le téméraire"

Il n'y a d'avenir a dit l'un que de Dieu : "Débat de l'avenir"

Il n'y a jamais eu rien de cela ni des ans qui suivirent : Le Roman inachevé

Il n'y a pas d'amour heureux : La Diane française

Il n'y a pas d'idéal abstrait : "Prélude au temps des cerises", II

Il n'y aura pas de jugement dernier : Les Yeux et la mémoire

Il n'y a pas un pouce de ma chair : "Discours"

Il pleut La pluie italienne de septembre : "Le voyage d'Italie", 3

Il régnait un clair d'anémone : Le Roman inachevé

Il règne dans la ville une louve inquiète : "Le printemps", IV

Il règne des vues diverses : Le Roman inachevé

Il règne sur la ville une nuit négatrice : "La nuit en plein midi"

Il revient : Les Yeux et la mémoire

Il s'agit de préparer le procès monstre : "Prélude au temps des cerises", III

Ils avaient bonne mine en descendant du train : "30 avril 1918"

Ils contemplaient le grand désastre sans comprendre : "Ombres"

Ils disent maintenant que je suis un voleur : "Le voleur"

Ils dorment c'est le soir des maisons honnêtes : "Mandragore"

Il se fait tout à coup par le ciel si grand silence : Elégie à Pablo Neruda

Il semblait que la cause fût entendue : Le Fou d'Elsa

Ils étaient deux dans les plâtras : Le Roman inachevé

Ils ne sont pas jolis : "Au café"

Ils ont peint la figue et l'orange : "Celui qui dit les choses sans rien dire", II

Ils ont renversé l'échiquier : "Petit palais de la banlieue"

Ils ont rendu l'homme à la terre : "Hymne"

Ils retournaient la terre : "Futur antérieur"

Ils sont partis J'écoute mourir les pas : "L'auteur élève la voix"

Ils sont venus avec des fleurs : "Une fille quelque part au bord du Xénil"

Ils t'ont dit Tue et sois tué peuple admirable : "Ô mon torrent"

Il y a ce soir dans le ciel : "Prologue"

Il y a ceux qui bandent : "Cinéma"

Il y a des choses que je ne dis à personne : "Safar", II

Il y a des cimetières : "Cantique aux morts de couleur"

Il y a des êtres de chair que la cupidité mène : "Le glorieux"

Il y a des / Il y a des gens : "L'Iliade"

Il y a des lieux le temps s'y fait vieux : "Chansons de Madeleine", 10

Il y a deux thèmes dans les toiles de Chagall : "Daphnis et Chloé", 2

Il y a trop souvent maldonne : "Paroles perdues", III

Il y ah qu'il y / A de gens : "… et L'Odyssée"

Il y avait deux mois environ que les persécutions : "Journal de Zaïd"

Il y avait devant la croix fichée en terre : Le Roman inachevé

Il y en a d'enfuis dans la campagne : "Fin de siècle"

Il y eut le temps mort : Les Chambres

Il y eut un grand bruit de la terre : "L'année"

Il y eut un temps si beau qu'on eût dit : "La toile perdue"

L'image fait de toute chose : "E"

Les images nues m'ont fait tellement horreur : "Ici Palais des Délices"

Imaginer l'hiver : "Tentatives"

Imité de Camoëns : Les Yeux d'Elsa

Imité de Nekrassov[3] : Mes caravanes

L'incantation détournée[4] : Le Fou d'Elsa

L'inconnue du printemps : En français dans le texte

L'institutrice : "Ecritures automatiques"

Intérieurs : Le Voyage de Hollande

Intermède : Les Poètes

Intermède français : Le Roman inachevé

Introït : "La Messe d'Elsa"

L'invention des caravanes : Mes caravanes

Isabelle : Le Mouvement perpétuel

Italia Mea : Le Roman inachevé



[1] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.

[2] Anthologie de poèmes publiée chez Robert Laffont en 1964 puis chez Seghers depuis 1975. Comprend deux inédits : le poème du même titre et "La mort à Paris".

[3] Avant d'être repris dans Mes caravanes, le poème a été publié le 21 février 1952 dans Les Lettres françaises "avec le titre Pour la mort de Nicolas Gogol, suivi de la date : 21 février 1852 (ancien style). Le poème est signé Nekrassov avec, entre parenthèses, l'indication : imité du russe par Georges Meyzargues" (note de l'OP).

[4] Titre donné par la table des matières du Fou d'Elsa, corrigeant le titre original du poème "L'incantation déroutée". Ce titre a été corrigé dans la réédition du Fou d'Elsa de l'OP.