E

 

E : "Une ouverture et cinq légendes"

: Le Fou d'Elsa

Echardes : Les Adieux

Ech-Chitrandj (Les échecs) : Le Fou d'Elsa

L'échelle des sentiments naïfs n'est pas la même : "L'odeur d'aucun herbier"

Eclairage à perte de vue : Feu de joie

L'éclatante victoire des CRS[1]

Ecoutez les oiseaux suspendus dans l'espace : "Les étoiles"

Ecrit au verso de "Bribes"[2]

"Ecritures automatiques"[3]

Effrayant bégaye un éphèbe : "Vains regrets d'un temps disparu"

Eierland : Le Voyage de Hollande

Elégie à Pablo Neruda[4]

Elévation : La messe d'Elsa

Elle a les plus beaux yeux du monde : "Litanies de  *  *  *

Elle ne m'écoutait plus : "Prose de l'ombrelle"

Elle rêve elle dort elle respire : "Le Songe d'une nuit d'été"

Elle s'arrête au bord des ruisseaux : "Les approches de l'amour et du baiser"

Elle seule elle a le ciel : "Zadjal du Kantarat al'Oûd"

Elles dorment n'importe où : Les Adieux

Elsa[5]

Elsa au miroir : La Diane française

Elsa entre dans le poème : Les Poètes

Elsa je t'aime : Le Crève-cœur

Elsa-valse[6] : "Cantique à Elsa", 6

Encore des paroles en l'air : Hourra l'Oural

Encore une fois tout est brisé comme verre : "Vagabondage spécial"

Encore un rêve des cyprès : "La dame de Châteaurenard"

L'enfant : Les Yeux et la mémoire

Enfant d'homme as-tu vu le monde abominable : "Je crois"

L'enfant fantôme fend de l'homme : "Le délire du fantassin"

Enfants couleurs des temps sauvages : "Enfer VI"

L'enfant-soldat[7]

L'enfant Zaïd lui reprend son luth : Le Fou d'Elsa

Les enfants : Mes caravanes

L'Enfer : Les Yeux et la mémoire

Enfer I : "D'un enfer"

Enfer II VI 1206

Enfer III : "D'un enfer"

Enfer IV : "D'un enfer"

Enfer V : "D'un enfer"

Enfer VI – Une école : "D'un enfer"

Enfer VII – L'Orange : "D'un enfer"

Enfer VIII – La chaise : "D'un enfer"

Enfer XI : "D'un enfer"

L'enfer fait salle comble : Les Destinées de la poésie

Enfer-les-mines : Le Crève-cœur

Enfin tout était prêt pour la mort de l'Ulmène : "Caupolican"

En français dans le texte[8]

Enigme : Le Fou d'Elsa

En l'an quinze cent quatre-vingt et un : "Jean de la Croix"

En la saison des primeroles : "Paroles perdues", VIII

Entr'acte : "Corps et biens"

Entracte : Elsa

Entre assieds-toi soleil et qu'à tes pieds se couche : "Elsa entre dans le poème", 1

Entre pleurer l'homme hésite et rire : "Enfer IV"

Epilogue : Les Poètes

Epilogue du prologue : Les Poètes

Epilogue (1492-1495) : Le Fou d'Elsa

L'épingle stérilisée : "Ecritures automatiques"

L'escale : Les Yeux d'Elsa

España en el corazõn : "Le romancero de Pablo Neruda", II

Est-ce l'anguille ou l'ablette : "Libération"

Est-ce Dieu le fils : "Une ouverture et cinq légendes", A

Est-ce toi Jenny l'ouvrière[9]

Est-il permis au sujet : Le Fou d'Elsa

Et Boabdil s'étant habillé comme un portefaix : Le Fou d'Elsa

Et ce n'est point aimer que n'aimer à douleur : "Les rendez-vous", VI

Et commence l'an 897 de l'Hégire : Le Fou d'Elsa

Et comme nous sortions ce soir-là de l'usine : "L'An quinze de la Révolution"

Et dans une heure de faiblesse il rêva : "Ô impie"

Eteins l'étoile Au bord du lit : "Poème écrit dans les toilettes"

L'été pourri : Le Voyage de Hollande

Et fut Héro princesse d'Artémis : "Préface abusive à dix images de l'amour", VII

Et ils s'en furent boire au bord de la rivière : "Le fakîr"

Et Kéïs Ibn-Amir An-Nadjdî redit une phrase : Le Fou d'Elsa

Et la vieille en sa robe jaune d'or : "Don Juan au Sacro-Monte"

Et le feu d'un coup me porte au-delà des limites de l'homme : Elsa

Et la vie a passé le temps d'un éclair au ciel sillonné : Le Roman inachevé

Et le roman s'achève de lui-même : Le Roman inachevé

Et les vents à nouveau balancent les étendards : "Montagnes, reprenez ses chants, et vous, oiseaux…"

… Et l'Odyssée : Les Adieux

Et morale : "Les enfants"

Et n'en écoute pas plus long le promeneur : Le Fou d'Elsa

Les étoiles[10]

Les étoiles à mille branches : "Ecritures automatiques"

Et plus belles sont les roses : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Et puis après Dites-moi donc à votre idée : "Les raisons de M. André Marie, ministre"

Et quand je compris que mon Maître : "Plainte de Zaïd"

Etrange travail pour l'étranger : "Le contrefacteur"

L'étreinte : Les Adieux

Et rien ne peut désormais se résoudre avec des chansons : Le Fou d'Elsa

Et s'en était venu de l'Extrême-Occident : Le Fou d'Elsa

… Et si beau que me fût le jour : Le Fou d'Elsa

Et s'il était à refaire : "Ballade de celui qui chanta dans les supplices"

Et si moi j'appelais si moi tu t'imagines : Elsa

… Et sont plus que les nuits longs les jours : "Préface abusive à dix images de l'amour"

Et vinrent les gens chez Ibn-Amir : Le Fou d'Elsa

Evangile : "La messe d'Elsa"

Exagération : La Grande Gaîté

Excuse pour en finir : Les Poètes

Exténué de nuit : "Lever"



[1] Poème publié dans L'Humanité du 5 novembre 1948.

[2] Texte non présent dans l'édition Poésie/Gallimard de ces "Ecritures", qui en publie quelques-unes à la suite du Mouvement perpétuel

[3] Groupement de textes reproduit partiellement avec Le Mouvement perpétuel dans l'édition Poésie/Gallimard

[4] Poème publié en 1966. Disponible en NRF Gallimard.

[5] Poème paru en 1959 en NRF Gallimard, seule édition publique disponible.

[6] Titre non repris dans l'index d'Edouard Ruiz.

[7] Poème de 1968, non repris dans Les Adieux.

[8] Poème recueilli à la suite de La Diane française aux éditions Seghers.

[9] Poème non repris dans Feu de joie.

[10] Poème de 1922 non repris dans Le Mouvement perpétuel.