D

 

D : " Une ouverture et cinq légendes"

D'abord il se prend pour Kéïs l'Amirite : Le Fou d'Elsa

Dadaglobe[1]

D'abord il y eut un long temps de guerre : Le Fou d'Elsa

La dame arrive : "La mort à Paris", I

la dame au caraco bordé de caracule I 674

La dame de Châteaurenard : "Trois poèmes de l'été 42", II

La dame était légère : "Poids"

Les dames de Carpaccio lentes et lourdes à ravir : Le Roman inachevé

Dans ce bar dont la porte : "Soifs de l'Ouest"

Dans ce pays blond : "L'Août soixante-trois"

Dans ce pays de fenêtres étranges : "Le médecin de Villeneneuve"

Dans ce pays de forêts et de fleuves : "L'enfant-soldat"

Dans ce pays plein de cendres amères : "Second intermède"

Dans ce pays sans eaux dormantes : "Lamentations d'Al-Andalous"

Dans ces jardins où Dieu perdait la tête : "Cantate à André Masson, IV

Dans cette fin pour moi de vivre la musique : "Chant pour Slava", IV

Dans cette nuit couleur d'ordure "Distique de la rime faible et de la nuit profonde""

Dans de petites maisons de terre noire : "1930"

Dans la bouche du temps qu'une pénombre : "Changement à vue"

Dans la forêt[2]

Dans la forêt dans les buissons : "Nocturne"

Dans la frégate Je-te-suce : "Voyageur"

Dans la maison de mon silence où la prière : Le Fou d'Elsa

Dans la nuit l'amour : "Décembre"

Dans le ciel de verre : "Six heures d'été'

Dans le ciel gris des anges de faïence : "Les larmes se ressemblent"

Dans le coin où bouffent les évêques : "Partie fine"

Dans le mémoire de la troupe : "Un régiment passe"

Dans le Pays des Œufs le narcisse doré : Eierland

Dans les bois de Suresnes : "Bonne bière de mars"

Dans les flammes du paysage : "Deux ans après", IV

Dans les plâtras croulants : Front rouge, III

Dans les temps qui viennent sans nous : "Le labyrinthe bleu et blanc", IV

Dans l'étrange Paris de Philippe-le-Bel : "Absent de Paris", II

Dans leurs habits de deuil offensant la saison : "Le cri du butor", VII

Dans une cravate de paon triste : "Triomphe de la moustache"

Dans une neige de neige : "Bouée"

La danseuse de l'hygroscope : "L'été pourri", VI

Daphnis et Chloé (Chagall à l'opéra) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

D'Arkhangelsk à la mer d'Aral : "Ballade des vingt-sept suppliciés de Nadiejdinsk"

De amore Elsæ[3]

Débat de l'avenir : Le Fou d'Elsa

Les débuts du fugitif : Les Destinées de la poésie

Décembre : "Calendrier 1929"

Décembre décembre décembre : "Chant de la zone des étapes"

De chaque jour qui passe à chaque jour qui vient : Le Fou d'Elsa

De Daphnis et Chloé ne puis que me redire : "Cantate à André Masson", VI

Dédicace : "Cinq sonnets de Pétrarque"

Déclaration définitive : La Grande Gaîté

Déjà des férocités : Dadaglobe

D'Elsa qui est une mosquée à ma folie : Le Fou d'Elsa

 D F A L B C : "La pensée" (2)

La délaissée : La Diane française

De la fausse pluie qui tomba sur une ville de pierre : Brocéliande, IV

De l'arbre où ce n'est pas Merlin qui est prisonnier : Brocéliande, V

Le délire du fantassin : Feu de joie

Demeure de Georges Malkine : Les Adieux

Demi-Dieu : Persécuté persécuteur

Le départ : Le Voyage de Hollande

Déposons cette bougie : "La pensée" (3)

De quel nom comme le feu sort du caillou : "L'Apocalypse selon Marc", 1

Le dernier des madrigaux : Les Destinées de la poésie

Le dernier venu : Le Fou d'Elsa

Les derniers jours : La Grande Gaîté

Der Wind Streut Samen (1933) : "Cinq tableaux d'une exposition", II

De si loin qu'on se souvînt : "Ô mares sur la terre au soir de mon pays…"

Destinataire parti sans laisser d'adresse : "Petite énigme du mois d'août"

Les Destinées de la poésie[4]

Des touristes dans l'air d'Oural : Hourra l'Oural

Deux ans après : Le Nouveau Crève-cœur

Deux chemins sont nés dans l'année : 1895

Deux poèmes d'outre-tombe : Le Crève-cœur

Diable de temps qui fait ce qu'il lui plaît : "Les folies-giboulées"

Dialectique de mars : Mes Caravanes

La Diane française[5]

die schammade : "Contribution à la presse Dada"

Dieu Dit l'homme pour son excuse : "L'Histoire (Chagall XVIII)"

Dieu est dans celui qui le nie : Le Fou d'Elsa

Dieu le plaisir que j'ai de toi : "Le plaisir-Dieu"[6],

Dieu nous gard' de vivre cent ans : Le Fou d'Elsa

Le dieu que l'on montre en image : "Aux enfants rouges"

Dimanche et lundi nettoyez Paris : "Chanson pour mourir d'amour au temps de Carnaval"

Discours : "Le discours à la première personne", Les Poètes.

Discours pour les grands jours d'un jeune homme : Les Adieux

Dis-moi Chagall (Chagall XV) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Dissolution château de cartes : "La course à l'abîme"

Distiques de la rime faible : "L'exemplaire Delbée"

Distiques pour une carmagnole de la honte[7]

La divine élégie s'est assise en pleurant : "Une solitude infinie"

Le 19 juin 1954 : Les Yeux et la mémoire

Le domaine privé : En français dans le texte

Dominez-vous ne laissez rien paraître "Café crème"

Dominos d'ossements que les jardiniers trient : Le Roman inachevé

Don Juan au Sacro-Monte : Le Fou d'Elsa

Donne donne donne donne : "L'Oural parle"

Donne-moi tes mains pour l'inquiétude : "Les mains d'Elsa"

Donnez-moi votre cathédrale : L'An deux mille n'aura paas lieu"

Le dormeur éveillé regarde la vie : "Sommeil de plomb"

Douce diversité des femmes pour ma force : "Plainte royale"

Doû'l Hidjdja Doû'l Hidjdja : Le Fou d'Elsa

D'où venez-vous gens de prière : "Chagall IV"

Le drôle de printemps : La Diane française

D'un bout à l'autre de ma vie : "Paroles perdues", X

D'une forêt qui ressemble à s'y méprendre : Brocéliande, I

D'un enfer[8]

D'un pays : Les Adieux

D'une petite fille massacrée : La Diane française

Du peu de mots d'aimer[9]

Du peu de mots : "Du peu de mots d'aimer"

Du poète à son parti : La Diane française

Du printemps qui viendra tout l'hiver : "Il revient"



[1] Titre donné par T. Tzara à une publication non réalisée. Ce titre est repris par l'OP pour présenter les textes d'Aragon qui devaient y figurer. Seule édition de ces textes : OP (1989-90).

[2] La première version de l'OP suppose que ce texte, retrouvé en 1974, remonte à l'été 1927.

[3] Sous ce titre, l'OP reproduit deux poèmes de 1929 écrits pour Elsa, "Poème écrit dans les toilettes" et "N'écoute que ma voix".

[4] Poème publié à la suite de Feu de joie et du Mouvement perpétuel dans l'édition Poésie/Gallimard.

[5] Poème disponible chez Seghers. Appartiennent au même recueil : En français dans le texte et Brocéliande.

[6] Le titre de ce poème est manquant dans la table des matières de l'édition NRF Gallimard du Fou d'Elsa.

[7] Publié pour la première fois en 1945 dans l'Aragon de Claude Roy paru aux éditions Seghers.

[8] Poème rassemblé, dès la seconde édition de Pierre Seghers, à la suite du Voyage de Hollande.

[9] Poème rassemblé, dès la seconde édition de Pierre Seghers, à la suite du Voyage de Hollande