C

 

C : Les Yeux d'Elsa

C : " Une ouverture et cinq légendes"

Cache ce qu'elle montre : Les Adieux

Les cadeaux de Pablo Neruda : "Le romancero de Pablo Neruda"

Café crème : "Tentatives"

"Calendrier 1929"[1]

Camarade Fideleiev n'as-tu pas honte : "Les flâneurs"

‚a ne se refuse pas : La Grande Gaîté

Cantate à André Masson : Les Adieux

Cantique à Elsa : Les Yeux d'Elsa

Cantique aux morts de couleur : Mes Caravanes

Cantique des cantiques : "Chants du Medjnoûn"

Le capital volant : " Hourra l'Oural

Les caravanes de la Paix : Mes Caravanes

Mes caravanes[2]

La Carmagnole des enfants[3]

Casino des lumières crues : Feu de joie

Cathédrale cou du jour : "Chanson de l'Université de Strasbourg"

Caupolican : "Le romancero de Pablo Neruda"

Le cavalier commande au cœur : "Regie bei sturm"

Chant de la zone des étapes : "Petite suite sans fil", III

Ce chant ne se divise pas : "Kalâm Garnatâ"

Ce chant premier qui s'ouvre : "Cantate à André Masson", I

Ce jeune homme avait l'habitude "Tragédie"

Ce jour que je t'avais perdue : Les Chambres

Cela débuta d'une façon très naturelle "Transfiguration  de Paris"

Celle dont le nom s'écrit diversement : Le Fou d'Elsa

Celles qui se promènent avec les paons : Le Fou d'Elsa

Celui dit l'homme habillé d'ombre : Le Fou d'Elsa

Celui-là qui dort à mon côté : "Le voyage d'Italie"

Celui-là qui peut la nuit dire : "Chants du Medjnoûn"

Celui qui croyait au ciel : "La rose et le réséda"

Celui qui dit les choses sans rien dire : "Dis-moi Chagall (Chagall XV)

Celui qui dit les choses sans rien dire : Les Adieux

Celui qui parle contre Dieu : Le Fou d'Elsa

Celui qui passe les mers autrement : "Les traversées", le Fou d'Elsa

Celui qui s'en fut[4] à douleur : Les Poètes

Ce monde est un immense camouflage : Fernand Léger

Cendres sur les toits du matin : "Le jour se lève sur la Fontaine des Innocents"

Ce n'est qu'un lieu de valse où la lumière tente : "Absent de Paris", III

Ce n'était pas assez Patrie : "Chanson du franc-tireur"

Cependant les femmes de l'Emir paressent : "Celles qui se promènent avec les paons"

Cependant se poursuivait la guerre d'escarmouches : Le Fou d'Elsa

Ce poème n'ayant pas su plaire : "Evangile"

Ce que dit Elsa[5] : "Cantique à Elsa", 4

Ce que dit le troisième : Les Poètes

Ce que dit l'ombre sans parole : Les Adieux

Ce que je dis de toi n'est au plus : "Le départ", Le Voyage de Hollande

Ce que je garde en moi je l'étouffe et le tue : "Les vêpres interrompues"

Ce que pense la 'âmma : Le Fou d'Elsa

Ce que répond le camarade Fideleiev : Hourra l'Oural

Ce qui fut défi d'abord ce qui fut joute : "L'hiver", I

Ce qu'il m'aura fallu de temps pour tout comprendre : Le Roman inachevé

Ce qu'il y a de merveilleux :  Ce que répond le camarade Fideleiev

Ce qui vient je n'en ai que vue obscure : "Journal de moi"

Ce sera l'un de ces matins où je dors : Elsa

Ce siècle a sur la mort quarante-deux fenêtres : "Lancelot"

Ce siècle de Matisse à jamais : "Henri Matisse dans sa centième année", II

Cesse donc de gémir Rien de plus ridicule : "Echardes"

Cessez ah cessez ces paroles : "Strophe par hasard retrouvée"

C'est au cimetière d'Ivry : "Légende de Gabriel Péri"

C'est au plus noir de ta prunelle : "Amsterdam"

C'est dans ce temps où chacun comprit : "Parabole du montreur de ballet"

C'est dans les yeux asphyxiés : Le Fou d'Elsa

C'est en Janvier que tout commence : Mes Caravanes

C'est ici que commencera : "Le discours à la première personne"

C'est ici que dans moi s'arrête cette histoire : "Chants du vingtième siècle"

C'est ici que la légende : "Comptine du quai aux fleurs"

C'est la fin du jour : "Une ouverture et cinq légendes", C

C'est la nouvelle duperie : "MCMXVI"

C'est le Prologue ici qui reparaît : "Epilogue du Prologue"

C'est par désœuvrement que j'ai pris : "Nymphée"

C'est toi Jacob : "Jacob ou la persuasion"

C'est un pont que je vois si je clos mes paupières : "Le paysan de Paris chante", II

C'est un sale métier que de devoir sans fin : Le Roman inachevé

C'est une chose étrange à la fin que le monde : "Que la vie en vaut la peine"

C'est une valse ancienne : "Valse du Tcheliabtraktrostro•"

Ces vers toute la nuit sans répit répétés : Elsa

C'était à la fin mai[6] quarante dans les Flandres : "Un temps de chien"

C'était au beau milieu de notre tragédie "Elsa au miroir"

C'était beau comme les Rois Mages : "Deux ans après", V

C'était lui pourtant seul sans armes : "Chanson du sixième hiver", II

C'était un temps de solitude : Le Roman inachevé

Cet été n'aura pas de fin : "Imaginer l'hiver"

Cet été s'en va sur les routes : Mes Caravanes

Ce titre suffit à soi-même : "Sale con"

Cette année il y eut : Elsa

Cette Grenade appelée vie : Le Fou d'Elsa

Cette île des oiseaux porte couronne de cris : "Commentaire à Eierland"

Cette semaine on joue un film : "Le jamais dit"

Cette vie à nous : Le Roman inachevé

Ceux qu'arrêtèrent les barrages : "Complainte pour l'orgue de la nouvelle barbarie"[7]

Ceux qui n'ont pas voulu se rendre : "Gloire"

Ceux qui peignent dans les parcs : "La préférence"

Ceux qui portaient des fleurs : "Chant de Prairial"

Ceux qui portent les noms arabes : Le Fou d'Elsa

Ceux qui viennent parler de Perm : "Les orateurs"

Les chacals sont arrivés : "Marché des interventionnistes"

Chagall I, II, III, etc. : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

Chagall n° tant et plus[8] (Chagall XIV) : "Celui qui dit les choses sans rien dire"

La chaise : "Enfer VIII"

La chambre de Don Quichotte : Les Poètes

La chambre d'Elsa : Elsa

Chambre garnie : Feu de joie

Les Chambres[9]

Chambres depuis la grotte : Les Chambres

Changement à vue : Les Poètes

Changer la peinture  c'est changer l'homme : "Discours pour les grands jours d'un jeune homme appelé Pablo Picasso"

Chanson à boire : La Grande Gaîté

La chanson de Jean de Chauny : Le Nouveau Crève-cœur

Chanson de la caravane d'Oradour : Mes Caravanes

Chanson de La Ricamarie[10]

Chanson de l'Université de Strasbourg : La Diane française

Chanson de récréance : Les Yeux d'Elsa

Chanson de route des porteurs de colombes : Mes Caravanes

Chanson d'homme sourd : "Le cœur jeté"

Chanson du Conseil municipal : Le Nouveau Crève-cœur

Chanson du franc-tireur : La Diane française

Chanson du miroir déserté : Elsa

Chanson du président de la République : Le Mouvement perpétuel

Chanson du siège de La Rochelle[11]

Chanson du sixième hiver[12]

Chanson noire : Elsa

Chanson pour Fougère : "Du peu de mots d'aimer"

Chanson pour le sovkhose : Hourra l'Oural

Chanson pour mourir d'amour au temps de Carnaval[13] : Le Mouvement perpétuel

Chanson pour oublier Dachau : "Le cri du butor"

Chanson pour se laver : Le Mouvement perpétuel

Chanson pour toucher la pierre : Le Fou d'Elsa

Chansons de Madeleine[14]

Chant d'Eglamour : Le Fou d'Elsa

Chant de la Bâb al-Be•ra : Le Fou d'Elsa

Chant de la paix : Les Yeux et la mémoire

Chant de la Puerta del Sol[15]

Chant des pêcheurs de perles : "Cinq poèmes"

Chant de Prairial[16]

Chant des vauriens : Le Fou d'Elsa

Le chant de toi qui me conduit "Oraison"

Chant du musicien aveugle : Le Fou d'Elsa

Chant français : La Diane française

Chant liminaire : Le Fou d'Elsa

Chant pour Slava : Les Adieux

Ce chant premier qui s'ouvre : "Cantate à André Masson, I

Chants du Medjnoûn : Le Fou d'Elsa

Chants du vingtième siècle : Le Fou d'Elsa

Chants perdus : Le Voyage de Hollande

Chaououâl et Doû'l Ka'da : Le Fou d'Elsa

Charade à ceux qui vont mourir : "Enfer-les-Mines"

Chari' (Le figuier) : Le Fou d'Elsa

Charlot mystique : Feu de joie

Charlot sentimental[17]

Les charrettes brinquebalent : "Les amants de la place Dauphine", Les Poètes

La chasse : Le Fou d'Elsa

Chasseur plus maigre que le crucifié : "Chant d'Eglamour", le Fou d'Elsa

Chauffeur au Claridge Roulons  : "Couplets du beau monde"

Chemin de fer : "Du peu de mots d'aimer"

La chemise : Le Fou d'Elsa

Les chenets morts à la peine : "Louis"

Les chevaliers de l'ouragan s'accrochent "Poème de cape et d'épée"

Les chevaux-jupons : Le Fou d'Elsa

Les chevaux se suivent : "L'Apocalypse selon Marc (Chagall XXV), 5"

Chie chie chie chie donc chie : "Berceuse"

Le chien qui parle : Le Mouvement perpétuel

Les choses du sexe : "Très tard que jamais"

La chronologie bras dessus bras dessous : "Symbole"

Le ciel brûle : Les Destinées de la poésie

Le ciel comme un arbre frissonne[18]

Ciel de lit : "Corps et biens"[19]

Le ciel est un pays de chèvres : "Celui qui dit les choses sans rien dire", XI

Le ciel exorcisé : Brocéliande, VII

Le ciel n'est-il qu'une voûte : "Zadjal de Bâb al-Bounoûd"

Le ciel ne tombera pas sur ta tête : "Je ne sais pas jouer au golf"

Cinéma : La Grande Gaîté

"Cinq poèmes"[20]

"Cinq sonnets de Pétrarque"[21]

Cinq tableaux d'une exposition : Les Adieux

Classe 17 : Le Roman inachevé

Le cœur jeté : Les Adieux

Cœur qui bat[22]

Le collectionneur des bouteilles à lait : "Le paradis terrestre"

Le comble de la tristesse n'est pas davantage : "Lycanthropie contemporaine"

Comme à l'homme est propre le rêve : "Zadjal de l'avenir",

Comme autour de la lampe un concert : "Le regard de Rancé"

Comme avec le soleil l'arbre immobile : "Elsa entre dans le poème", 3

Comme d'autres vont un jour cueillir la violette : "Un philosophe"

Comme des sourds-muets parlant dans une gare : "Les amants séparés"

Comme Dieu l'a prise : Les Adieux

Comme il allait de con en con :"Voyages"

Comme il approchait des temps où l'homme vole : Le Fou d'Elsa

Comme il arrivait au pont : Le Fou d'Elsa

Comme il a vite entre les doigts passé : Le Roman inachevé

Comme il parlait ainsi ses jeunes camarades : "Jeu de scène"

Comme je finissais de relire ces pages : explicit des Chambres

Comme je parlais les portes s'ouvrirent : "La rose trémière"

Comme la dame du vestiaire du coiffeur : "Le progrès"

Comme l'autobus U tournait le coin : "Poème de sang et d'amour"

Commentaire à Eierland : Le Voyage de Hollande

Commentaire de Za•d entre deux chants : Le Fou d'Elsa

Comment l'eau devint claire : Les Yeux et la mémoire

Comment se fait-il que pour ces deux-ci : "Cantate à André Masson", VIII

Comme on laisse à l'enfant pour qu'il reste : "Le paysan de Paris chante", I

Comme tes couleurs sont jolies : "Celui qui dit les choses sans rien dire", VII

Comme un cheval d'os de poil et de feu : "La chambre de Don Quichotte", Les Poètes

Comme une chaise dédorée : "Enfer VIII"

Comme un garçon livreur de couronnes : "L'éclatante victoire des C.R.S."

Complainte de Pablo Neruda : Le Romancero de Pablo Neruda

Complainte de Robert le Diable : Les Poètes

Complainte des chômeurs[23]

Complainte pour l'orgue de la nouvelle barbarie : Le Crève-cœur

Le complot : "La patrie en danger", IV

Comptine du quai aux fleurs : Le Nouveau Crève-Cœur

Connaissez-vous ces soirs où le jour faiblissant : "Paris vingt ans après"

Connaissez-vous la rose-lune : "La rose du premier de l'An"

Connaissez-vous l'île : "Quai de Béthune"

Le conscrit des cent villages : La Diane française

La constellation[24] : "Cantique à Elsa", 3.

Continueront voyager choses : "Le paresseux"

Le contre-chant : Le Fou d'Elsa

Le contrefacteur : Les Destinées de la poésie

Contre la poésie pure : Les Yeux d'Elsa

Contre les voleurs du grand monde : "La nouvelle ronde"

Contribution à la presse Dada[25]

Coq : "Tapisseries"

Corps et biens[26]

Corps perdu : "Corps et biens"

Côte flûte pêche bête : "La pensée" (1)

Couples formés par le hasard : "Poème de non-amour"

Couplet de l'amant d'opéra : Feu de joie

Couplets du beau monde : "Cinq poèmes"

Courlis : "Tapisseries"

Les courlis parlent entre eux : "Courlis"

Cours de danse[27]

La course à l'abîme[28]

Credo : "La Messe d'Elsa"

Le Crève-cœur[29]

Le cri Ė l'assassin s'élève dans la nuit : "Lettre au commissaire"

Le cri du butor : Le Nouveau Crève-cœur

Le crime parfait : Les Adieux

Cris muets Taffetas noirs : "Madame Tussaud"

Les croisés : Le Crève-cœur

La croix pour l'ombre : Le Fou d'Elsa

Les croix de l'espace et les petits tas de piété : "Le phare"



[1] Sous ce titre l'OP regroupe six poèmes portant en titre les six derniers mois de cette année, écrits au second semestre de 1929.

[2] Poème de 1954, édité chez Seghers. Epuisé à l'heure actuelle.

[3] Poème publié dans Les Lettres françaises, n° 43 du 17 février 1945.

[4] Le titre de l'index de l'OP est corrigé.

[5] Titre non repris dans l'index d'Edouard Ruiz.

[6] Le titre de l'index de l'OP est corrigé.

[7] Le renvoi d'index de l'OP comporte une coquille. Le poème appartient au livre III de la deuxième édition, et non au livre II.

[8] Titre absent de l'index d'Edouard Ruiz : l'OP donne à ce poème le titre "Suite au final".

[9] Poème publié en 1969. Réédité chez Stock en 1997.

[10] Poème publié dans L'Humanité du 16 novembre 1948.

[11] Poème publié dans Les Lettres françaises, n° 43 du 17 février 1945.

[12] Poème publié dans Les Lettres françaises, n° 43 du 17 février 1945.

[13] La table des matières de l'édition Poésie/Gallimard, indexant "[…] du Carnaval", est fautive.

[14] Titre donné dans l'OP au recueil des chansons dont Aragon écrivit les textes en 1971 à l'occasion de la Soirée Elsa Triolet donnée à Chaillot pour l'anniversaire de sa mort. La plupart de ces poèmes sont repris dans Les Adieux sous le titre "Poèmes des années soixante".

[15] Poème de 1928, composé à Madrid, dans lequel Aragon mentionne la destruction des cahiers de La Défense de l'infini. Le "tu" du poème désigne Nancy Cunard

[16] Poème publié en juin 1958 dans Les Lettres françaises.

[17] Première version de "Charlot mystique", éditée seulement dans l'OP.

[18] Poème automatique édité pour la première fois en 2000, dans les Papiers inédits, chez Stock.

[19] Poème de 1920 non repris dans Feu de joie, qu'Aragon ne place que dans le livre V de la première édition (année 1932) de l'OP, et réédité dans le tome 2 de l'OP de 1988-90. Le texte repris dans l'édition de "Corps et biens" de 2003 propose d'autres variantes.

[20] Sous ce titre Aragon fait figurer cinq poèmes parus en juillet 1933 dans le premier numéro de Commune. Edités seulement dans l'OP.

[21] Traductions de Pétrarque par Aragon : cinq sonnets suivis de trois poèmes.

[22] Poème écrit en novembre 1959 pour la pochette d'un disque de Philippe-Gérard, A cœur battant.

[23] Poème publié en avril 1932 dans le numéro 59 de La Lutte Antireligieuse et Prolétarienne. réédité seulement dans l'OP.

[24] Titre non repris dans l'index d'Edouard Ruiz.

[25] Titre donné par Aragon dans la première version de l'OP à trois poèmes de 1920.

[26] Poème paru dans The Little Review (1921), réédité par Lionel Follet dans le n° 567 de la NRF, octobre 2003.

[27] Poème de 1918 non repris dans Feu de joie et édité seulement dans l'OP.

[28] Poème de 1920 non repris dans Feu de joie et édité seulement dans l'OP.

[29] Recueil de poèmes paru en 1941 chez Gallimard. Disponible en Poésie/Gallimard.