A
A : "Une ouverture et cinq légendes"
A b c d e f :
"Suicide", Le Mouvement perpétuel
L'Abeille : "Ecritures automatiques"[1]
Aboû'l-Kassim avait fait accepter d'Isabelle : Le Fou d'Elsa
Aboû'l-Kassim comprit-il enfin : le Fou d'Elsa
Aboû'l-Kassim étranger aux
événements : Le Fou
d'Elsa
Absent de
Paris : En français dans le texte
Absent et présent ensemble : "Complainte de Pablo Neruda", VI
A celui qu'éblouit la neige[2]
A ce point de mon rêve : Les Yeux et la mémoire
A chaque gare de poussière : Le Roman inachevé
A cinq heures trente le fleuriste est clos : "L'été pourri", V
Acrobate : Feu de joie
Les Adieux[3]
A Fernand Moulot[4]
Afin d'y retrouver la photo de mes songes : "Le paysan de Paris chante", II
L'Affreux : Le Fou d'Elsa
A force de rêver l'un de l'autre "Le rendez-vous
A force de s'en foutre : "Ramo dei morti"
A Frédéric Joliot-Curie[5]
A genoux l'homme a dit la voix : "Supersonique"
Âge obscur temps blessé : "A Novomesky"
A Guendrikov pereoulok : "Cette vie à nous"
Ah ce n'est pas le vin qui naît : Elégie à Pablo Neruda
Ah dans ses propres pas que marcher est étrange : "La nuit de Moscou"
Ah j'ai perdu mon cœur en toi : Le Fou d'Elsa
Ah la toux atroce qui fait geindre la nuit : Le Voyage de Hollande
Ah le vers entre mes mains : Le Roman inachevé
Ah parlez-moi d'amour ondes petites ondes : "Petite suite sans fil", II
Ainsi je t'aurai toute la vie attendue : "Les Rendez-vous", VIII
Ainsi danse la musique ainsi le rêve : "Madrigal pour un plafond"
Ainsi l'enfant Zaïd homme devenu : Le Fou d'Elsa
Ainsi pensait le Medjnoûn : Le Fou d'Elsa
Ainsi Prague a perdu son âme et son poète : Les Poètes
Ainsi que le cœur qui se déchire au début de l'absence : "Tant pis pour moi"
Ainsi qu'une île Borromée : "Le bras"
Ainsi voilà trente ans que tu fais le voyage : "Sonnet de la fidélité"
Ainsi vous qui tenez dans vos mains le tonnerre : "Question"
Air à danser : Le Fou d'Elsa
Air du temps : le Mouvement perpétuel
A jambages clairs grands échassiers : "L'été pourri", IV
A Jean Prévost : Mes Caravanes
A la fin j'ai trouvé dans la robe des anges : "On dormait encore en ce temps-là
Alain vous qui tient en haleine : "Pour un chant national"
A la pointe des seins : "Naufrage-enseigne"
A la première Pâque il fleurit des lilas : "Les trois Pâques de l'année"
A l'aube de la violence : "Deux ans après", III
Al-Baiyazin ô charogne : Le Fou d'Elsa
L'Alcaïceria : Le Fou d'Elsa
A l'heure où le roi Boabdil : Le Fou d'Elsa
A l'Hôtel de l'Univers et de l'Aveyron : "Chambre garnie"
Aline : "Corps et biens"[6]
Al-Kassaba d'automne : Le Fou d'Elsa
Allez reprends en main ton cœur : Le Roman inachevé
Allo Allo Radio Paris : "La prise du pouvoir"
Allons enfants : "Réponse aux jacobins"
Allons sur la prée : "Chants perdus", II
Alors il se fait un tohu-bohu de cigales : Le Fou d'Elsa
Alors j'ai déchiré quatre années de ma vie : "Chant de la Puerta del Sol", VI
Alors le vieil Hugo sur la place publique : "Langage des statues"
Alors il se fit u n bruit parmi les cheikh : Le Fou d'Elsa
A Madrid il est consul : "Complainte de Pablo Neruda", II
Les amants de la Place Dauphine : Les Poètes
Les amants de Magnitorgosk : Hourra l'Oural
Amants qu'est-ce que vous chantiez : "Paroles perdues", VI
Les amants séparés : Le Crève-cœur
A Medina Sidonia, c'est une bien vieille histoire : "Prose de la reine Blanche et des ouvriers de chez nous"
Amenez-le moi ce chanteur : Le Fou d'Elsa
L'ami sans cœur ou le théâtre : "Pièce à grand spectacle"
A Mohammed Ben Aboû'l-Hassan : Le Fou d'Elsa
Amour d'Elsa : Le Nouveau Crève-cœur
L'amour de toi qui te ressemble : Elsa
L'amour et l'avenir sont un même combat : "Juillet de la jeunesse"
L'amour qui n'est pas un mot : Le Roman inachevé
L'amour survit au revers de nos armes : "Plainte pour le quatrième centenaire d'un amour"
L'amour tendre literie : "Couplet de l'amant d'opéra"
Amsterdam : Le Voyage de Hollande
Ancien combattant : La Grande Gaîté
André l'homme choisit ses rêves : "Cantate à André Masson", II
Andromaque, Andromaque : Les Poètes
Angélus : La Grande Gaîté
L'An 1905 Pablo Picasso quel âge : "L'étreinte"
L'Année[7]
Les années ont passé : Le Fou d'Elsa
A Novomesky[8]
L'An quinze de la révolution : Hourra l'Oural
Août[9]
L'Août soixante-trois : Le Voyage de Hollande
A Paris les garçons les filles : "La Carmagnole des enfants"
A part un gant tombé : "Réponse de Pétrarque à la fausse réponse de son ami"
L'Apocalypse selon Marc (Chagall XXV) : Les Adieux
Apocryphes des derniers jours : Le Fou d'Elsa
Apparitions d'après-midi : "La pesanteur"
L'apparition soudaine de Boabdil : Le Fou d'Elsa
Les approches
de l'amour et du baiser : Les Destinées de l'amour et du baiser
Après dire : "Cantate à André Massson"
Après l'amour : Le Roman inachevé
L'a prise dans ses mains : "Septembre"
A quoi rêverais-tu : Le Voyage de Hollande
L'arbre amoureux d'une servante : "Chanson du Président de la République"
Les arbres le vent l'ombre et la charrette : "Meindert Hobbema"
Les arbres se penchaient
(Le Montreur. Les arbres se penchaient…) : Les Poètes
L'Arc que le bras de l'Ange tend : "Les you-you"
Argument du poème[10] : Elégie à Pablo Neruda
Arnaud de Catelan tué par votre escorte : "Absent de Paris", IV
Arrière-pensée[11]
: Le Mouvement perpétuel
Art poétique : La Grande Gaîté
Art poétique : En français dans le texte
L'ascenseur descendait toujours : "Charlot mystique""
A songer que l'Etat m'assigne : "Satan, ses pompes et ses œuvres"
Assis sur sa table à écrire : "Mythologie"
Assurance sur la vie : "Ecritures automatiques"[12]
L'aube : "Chants du Medjnoûn"
L'aube : "Les Falâssifa"
Au biseau des baisers : "Elsa je t'aime"
Au bord des fontaines : "Villanelle"
Au bord d'un bénitier de bore ardent : "Le ciel brûle"
Au café : La Grande Gaîté
Au Café du Commerce : "Ecritures automatiques"
Aucun mot n'est trop grand trop fou : "La constellation"
Au dernier mois de la prime octave : Le Fou d'Elsa
Au feu des terrasses : "Enfer III"
Au feu des campagnes torrides "Deux ans après", II
Au grand saisissement des nuages "La ville assise dans les pavés"
Au peintre au sculpteur le modèle : "A Fernand Moulot"
Au quatrième été de notre Apocalypse : Le Musée Grévin, I
Au rendez-vous des assassins : "Programme"
Au sang la terre est toujours prête : "A Jean Prévost"
Au service de l'Aéronautique : "Mars à Vincennes"
L'Auteur élève la voix : Les Poètes
L'automate est pâle : Le Musée Grévin, IV
Autre chanson de non-amour : Les Adieux
Autrefois tout semblait ne pas nous concerner : Le Roman inachevé
Autre lamentation : Le Fou d'Elsa
Autre procès-verbal : Dadaglobe
Aux enfants rouges[13]
Aux prunes : Les destinées de la poésie
Aux siècles sumériens l'art d'écrire : "Paul Klee (1870-1940), II
Avance Roi vaincu devant l'histoire : Le Fou d'Elsa
Avec mon crayon trempé dans le Vittel : "Très mauvais"
Avec son bateau : "Voyage"
Avec tout ça vous n'allez pas prendre : "Fernand Léger"
Avenir qui ressemble aux veines : "Le ciel exorcisé"
Avignon : "Amour d'Elsa"
A voir un jeune chien courir : "Chants perdus", I
AVRIL renaît Voici ses rubans : "La naissance du printemps"
Ayant agité sa tête à deux mains "Un monsieur"
Ayant franchi l'ombre sans gué : "Les veilleurs"
L'azur et ses voiles : "La belle Italienne"
[1] Texte non présent dans l'édition Poésie/Gallimard de ces "Ecritures", qui en publie quelques-unes à la suite du Mouvement perpétuel.
[2] Poème publié dans Les Lettres Françaises, le 9 mars 1961, en hommage à François Monod, directeur des EFR, qui venait de mourir.
[3] Edité en décembre 1981 chez Messidor, cet ouvrage recueille la plupart des derniers poèmes d'Aragon qui n'avaient pas été rassemblés en ouvrage depuis les années soixante. L'ouvrage n'est pas recensé dans l'index d'E. Ruiz.
[4] Poème offert au dédicataire, imprimeur lithographe, édité pour la première fois dans la seconde version de l'OP.
[5] Hommage funèbre d'août 1958, paru dans les Lettres françaises.
[6] Poème de 1920 non repris dans Feu de joie, qu'Aragon ne place que dans le livre V de la première édition (année 1932) de l'OP, et réédité dans le tome 2 de l'OP de 1988-90. Le texte repris dans l'édition de "Corps et biens" de 2003 propose d'autres variantes.
[7] Poème destiné à être inséré dans les Adieux. Aragon renonça finalement à le publier.
[8] Poème publié le 28 janvier 1965 dans Les Lettres françaises, à l'occasion du soixantième anniversaire du poète slovaque Novomesky.
[9] Poème de 1929, réédité dans l'OP.
[10] Titre non repris dans l'index d'Edouard Ruiz.
[11] Titre corrigé depuis l'index d'Edouard Ruiz.
[12] Texte non présent dans l'édition Poésie/Gallimard de ces "Ecritures", qui en publie quelques-unes à la suite du Mouvement perpétuel
[13] Poème de 1933, réédité dans l'OP.